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  • Photo du rédacteurDidier Nicolas

Les Ondes Scalaires : La lumière qui nourrit et qui guérit !

- Ou comment expliquer le Reiki de façon scientifique –

Il y a encore moins de 10 ans, nul ne connaissait les ondes scalaires en France …

Mais qu'est-ce qu'une onde scalaire ?

Par définition, une onde scalaire est une onde sans direction qui finit quand même par posséder un vecteur dirigé, dès lors qu'un récepteur entre en résonance avec l'antenne émettrice de l'onde initiale.

Entre émetteur et récepteur, une onde stationnaire se crée et les lignes de champ vont de l'émetteur au récepteur de manière stricte, sans diffusion autour, ce qui rend la mesure difficile. La forme de l'onde scalaire est spirale, et non pas sinusoïde.

Pour créer de telles ondes, il faut une forme d'antenne particulière, le plus souvent sphérique ... comme par exemple, le soleil ou la terre ! Pour ne citer que les 2 « antennes » les plus évidentes, qui nous alimentent en énergie depuis la nuit des temps ...

Nikola Tesla autrefois dans les années 1900 à 1940, et le Pr Meyl (Professeur allemand des Universités, spécialiste de la Physique des champs et promoteur du concept des ondes scalaires) aujourd'hui, ont recréé ce type d'antenne en miniature et ont montré expérimentalement que ce type d'ondes existaient bel et bien et qu'elles étaient très communes dans notre environnement, mais aussi indétectables avec nos instruments de mesure actuels, tous tournés vers le seul électromagnétisme.

Les ondes électromagnétiques sont de nature transversale. Elles se propagent à 90° de la force exercée (comme pour un caillou jeté dans l'eau), alors que l’onde scalaire est une onde longitudinale (les forces du champ ont la même direction que l'onde, comme lors de la compression d'un ressort).

Presque toujours, les ondes longitudinales (scalaires) et transversales (électromagnétiques) cheminent ensemble et s'amortissent ou s'évanouissent si elles ne trouvent pas de récepteur pour les absorber et/ou les réémettre, mais la partie scalaire ou longitudinale est beaucoup plus pénétrante (elle passe le maillage d'une cage de Faraday par exemple).

Un autre point important de ces ondes longitudinales est qu'elles voyagent à vitesse variable pour un milieu donné, alors que les ondes électromagnétiques (comme la lumière visible) voyagent à vitesse fixe (c = 300 000 km/seconde dans le vide) : cette vitesse peut être inférieure à la vitesse de la lumière visible, mais aussi elle peut être supérieure (2 à 3 fois, voire plus).

On pourrait dire que les ondes électromagnétiques sinusoïdes sont un cas particulier à vitesse fixe des ondes scalaires générales.

La source première de ces ondes scalaires est notre étoile : le soleil. Il émet lui-même des neutrinos - à partir de la désintégration des neutrons en son cœur.

Des neutrinos que nous recevons sur la terre à la « dose » de quelque 66 milliards de neutrinos par cm2 et par seconde !

Ce bombardement incessant est un flux d'énergie spirale que nous pouvons capter.

« Ce tourbillon profond d'où viennent les 10 000 Êtres " écrivait déjà Lao Tseu 6 siècles avant J.-C. dans son livre - Le livre de la Voie et de la Vertu) ; ainsi qu’en 2015, le prix Nobel de Physique a été attribué à 2 chercheurs (Canada et Japon) qui ont justement montré que les neutrinos avaient une charge et une masse et donc qu'ils étaient bien une source potentielle d'énergie (E = mc2).

Outre le soleil, les ondes scalaires sont émises et reçues à une toute autre échelle de puissance - toujours sous forme spirale - par tout être vivant (végétal, animal ou humain).

Dans nos cellules, nous avons des antennes en forme d'hélices ou de spires pour accueillir, absorber et utiliser cette énergie : les ADN sont de forme hélicoïdale, ils peuvent entrer en résonance avec des ondes de même forme venant de l'extérieur.

La sève des végétaux ou bien notre sang ou notre lymphe, circulent en créant des vortex en permanence. Au sein des vortex d'eau, de plasma ou de liquides interstitiels, on peut très bien imaginer que ces ondes très pénétrantes se ralentissent, s'amortissent et nous communiquent leur énergie.

Le Pr Meyl voit ainsi la création de notre électricité corporelle à partir de l'interaction de ces neutrinos externes si nombreux avec l'eau de notre corps (d’où le fait d’être bien hydraté avant une séance de soin énergétique), dans une réaction qu'il a appelé la neutrinolyse naturelle de l'eau.

Cette hypothèse est un véritable scoop, car jamais personne n'a fourni d'explication à la fabrication d'électricité par le corps (pourtant facilement mise en évidence) et à sa circulation ?

Le cerveau de l'homme émet et reçoit des ondes spirales, ce que les chercheurs russes ont appelé « champs de torsion » dans les années 80.

N'importe quel être vivant émet naturellement ce type d'ondes.

C’est ainsi que les ondes cérébrales portant des informations ont pour support des ondes longitudinales, brassant des électrons, des photons ou des neutrinos !

Peu importe le support particulaire, ce qui compte, c'est la nature des ondes émises et reçues, de type longitudinal ; ceci a été démontré il y a 25 ans déjà par le Pr Jacoba Grinberg, (neurophysiologiste de l'Université de Mexico), puis à plusieurs reprises.

Dans l'expérience initiale, le Pr Grinberg plaça dans 2 cages de Faraday différentes 2 personnes qui devaient entrer en méditation et fixer leur attention l'une sur l'autre. Au cours du test, un signal électrique impulsé sur le cerveau de l'un était automatiquement et instantanément enregistré à l'identique sur le cerveau de l'autre.

Que les cages de Faraday soient distantes de 5 mètres, 50 mètres ou bien 500 km. Il ne s'agissait donc pas d'électromagnétisme, qui perd de sa force avec la distance mais d’ondes longitudinales dites Scalaires.

Cette expérience démontre que le corps humain rayonne bien un autre type d'énergie que celui décrit et démontré par Hertz à la fin du 19ème siècle. Ici, c'est bien le rayonnement Tesla qui est à l'œuvre (pas de diminution de puissance avec la distance, pénétration forte au travers d'une cage de Faraday, nécessité d'une résonance entre émetteur et récepteur, faible puissance d'émission mais besoin d'une résonance entre les 2 antennes ...).

Lorsque le cerveau de l'homme se met en état modifié de conscience, sa capacité de réception pour ce type d'ondes augmente ; il y est plus sensible tout simplement, son tissu conjonctif est plus fluide, moins dense.

Bien que la nuit, il arrive sur terre 2 fois moins de neutrinos en quantité (33 milliards /cm2/seconde au lieu de 66, car la masse de la terre en a arrêté la moitié en provenance du soleil), lors de notre sommeil la recharge en énergie de nos accumulateurs cellulaires sera positive du fait de leur meilleure assimilation.

Et à l'issue d'une bonne nuit de sommeil, nous sommes reposés. De même, lors d'une séance de méditation ou de prières, nos ondes cérébrales sont modifiées (ondes alpha, voire thêta), ce qui nous permet de mieux recevoir cette énergie environnementale d'une part (bien-être, détente), mais aussi des messages télépathiques venant de personnes avec lesquelles nous serions en résonance (communication facilitée par ces ondes devenues stationnaires entre un émetteur et un récepteur).

L’être humain comme toute forme de vie sur la terre émet de la lumière visible électromagnétique et de la lumière invisible, encore non mesurable - si ce n'est par ses effets biologiques de type longitudinal. On peut mesurer avec une caméra très sensible le champ infrarouge qui sort de la paume des mains des guérisseurs : et ce champ est multiplié par 1 000 ! dès que le guérisseur entre en état modifié de conscience lors de la phase de traitement de son patient !

D'où vient cette énergie supplémentaire ? De l'environnement bien entendu, et il faut des photons et/ou des neutrinos très pénétrants pour alimenter en temps réel et abondamment une séance de magnétisme ou de Reiki via les mains du praticien.

Mais pour qui veut apporter de l'énergie à son patient avec l'aide de ses mains, il faut à la fois la bonne attitude, mais aussi de l'entraînement, afin de savoir se rendre perméable à une énergie environnante d'une part, puis afin de savoir la diriger avec les visualisations correctes sur la « cible ».

Les ondes scalaires constituent une avancée majeure dans la Médecine contemporaine moderne ; leur existence est une réalité physique tout juste démontrée ; on peut désormais en parler avec les mots de la Science Physique, sans aucun ésotérisme (Le Yin et le Yang, le Qi ou le Prana ...).

Expliquées et mises en avant par des physiciens de haut niveau, elles devraient permettre, prochainement, l'accès à de nouvelles techniques de soins, alliant la Physique et la Chimie.

(Extrait de l’interview du Docteur Hervé Janecek, paru dans Les cahiers de la Bio-énergie N°73 juillet 2018)


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